Biographie

Née le 25 avril 1959 à Montluçon ( Allier ) son papa y exerce sa carrière professionnelle , Brigitte ne gardera que très peu de souvenirs de cette Région car c'est à l'âge de 18 mois qu'elle trouvera la terre de ses origines , la Provence et plus particulièrement le département de Vaucluse.

Son entourage familial la conduit naturellement à la passion du dessin et de la peinture , elle n'a alors que 6 ans. Conseillée par sa marraine Nicole Mahistre , peintre de talent , elle ne tardera pas à connaître les subtilités de cet art.

Les années passent , la passion reste , les beaux arts d'Avignon puis ceux de Digne lui apportent la maîtrise , les techniques diverses. Captivée par la Provence qu'elle ne cesse de parcourir pour ses couleurs , ses odeurs , ses reliefs , elle croque cette magnifique vision sur la toile.

Et puis elle a un rêve , celui de peindre les caractéristiques des 151 communes de son département , ainsi né le magnifique livre '' Sur les chemins du Vaucluse '' dans lequel elle rend hommage à son grand-oncle , le celèbre poète Frédéric Mistral et pour lequel l'artiste crée pas moins de 200 aquarelles.

Le succés de l'oeuvre déclenche un entourage de médiatisation , la presse écrite , les radios régionales et nationales puis les reportages télévisées.

Elle s'établit en 2009 à Beaumes de Venise ( Vaucluse ) avec l'ouverture  au public d'un atelier Art galerie ou elle aime évoquer autant la Provence que ses oeuvres.

Ses passions ; les petits enfants , la peinture à l'huile , aquarelle , la lecture et toujours les ballades en Provence.

Ses souhaits ; Démocratiser l'art sous toutes ses formes , le rendre accessible à tous. Peindre le plus longtemps possible....

 

A mon grand-oncle Frédéric Mistral

Mistral est un fils de ménagers aisés (François Mistral et Adélaïde Poulinet, par lesquels il est apparenté aux plus anciennes familles de Provence : Cruvelier, Expilly, Roux nés Ruffo di Calabria, elles-mêmes très étroitement apparentées entre elles ; marquis d'Aurel). Mistral porte le prénom de Frédéric en mémoire « d'un pauvre petit gars qui, au temps où mon père et ma mère se parlaient, avait fait gentiment leurs commissions d'amour, et qui, peu de temps après, était mort d'une insolation. »

Mistral va, dès l'âge de sept ans, à l'école de Maillane. Il y pratiqua lou plantié (école buissonnière) comme il le narre dans ses Memòri e raconte, où au chapitre IV, il part cueillir des fleurs de glai (iris d'eau) pour sa mère. Puis, en 1839, il est inscrit au pensionnat de Saint-Michel-de-Frigolet. Il n'y resta que deux ans, cet établissement ayant fermé, et fut placé au pensionnat Millet d'Avignon. En 1845, il fut logé au pensionnat Dupuy, il fit connaissance de Joseph Roumanille[3].

Durant cette période, il suivit ses études au Collège royal d'Avignon, dans l'actuelle rue Frédéric Mistral, et passa, en 1847, son baccalauréat à Nîmes. Reçu bachelier, il fut enthousiasmé par la révolution de 1848 et se prit d'admiration pour Lamartine. Ce fut au cours de cette année qu'il écrivit Li Meissoun (Les Moissons), poème géorgique en quatre chants, qui resta inédit[3].

Sa famille le voyant bien devenir avocat, il étudia le droit à Aix-en-Provence de 1848 à 1851, où il sortit de la Faculté avec sa licence en droit[3].

Plaque commémorative en langue d'oc, en Haute-Vienne.

Il se fait alors le chantre de l'indépendance de la Provence et surtout du provençal « première langue littéraire de l'Europe civilisée ». C'est au cours de ses études de droit qu'il apprit l'histoire de la Provence, jadis État indépendant. Émancipé par son père, il prit alors la résolution « de relever, de raviver en Provence le sentiment de race (…) ; d'émouvoir cette renaissance par la restauration de la langue naturelle et historique du pays (…) ; de rendre la vogue au provençal par le souffle et la flamme de la divine poésie ». Pour Mistral, le mot « race » désigne un « peuple lié par la langue, enraciné dans un pays et dans une histoire ».

Mistral reçoit le Prix Nobel de littérature en 1904 conjointement à José Echegaray. Il consacrera le montant de ce prix à la création du Museon Arlaten à Arles.

Marié à une Bourguignonne, Marie-Louise Rivière (1857-1943), il n'aura pas d'enfant et meurt le 25 mars 1914 à Maillane.


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